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Étude réalisée par Viavoice pour le Centre Society & Organizations (SnO)d’HEC Paris et France Info.
Interviews effectuées en ligne du 7 au 9 novembre 2018.
Échantillon de 400 personnes, représentatif de la population des cadres résidant en France métropolitaine.
Représentativité par la méthode des quotas appliquée aux critères suivants : sexe, âge, statut d’activité (secteur public ou secteur privé).
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En dépit de la conjoncture économique et sociale,
les cadres demandent à aller plus loin sur le plan environnemental
Alors que l’actualité fait la part belle à la hausse des prix des carburants, symbole pour beaucoup d’une « écologie punitive » contre leur pouvoir d’achat, et alors que la conjoncture économique se détériore en cette fin d’année, l’opinion sur la RSE évolue à la marge parmi les décideurs.
Ainsi, bien qu’une large majorité des cadres (58 %) reste convaincue que la RSE « doit être perçue comme une opportunité économique », ce score est en baisse par rapport au mois d’août, après un été marqué par les enjeux environnementaux (canicule, actualité autour du glyphosate, etc.), et compte tenu du contexte actuel, donc.
Pour autant, l’environnement reste le premier enjeu associé à la RSE, devant les questions d’éthique ou les enjeux sociaux, preuve que la question environnementale s’installe durablement comme un enjeu majeur pour les cadres, par ailleurs particulièrement sensibles à l’urgence climatique puisqu’ils sont 57 % à estimer que les objectifs des Accords de Paris (COP 21) restent atteignables « à condition de prendre des mesures radicales pour changer nos modes de production et de consommation ».
Or les décideurs ne voient pas aujourd’hui dans l’action de leur entreprise la même préoccupation face à l’urgence climatique, et restent sceptiques surl’ampleur des actions réellement menées : 49 % d’entre eux déclarent ainsi que leur entreprise n’a pas mis en place « des actions au quotidien pour limiter son empreinte carbone et l’impact environnemental de son activité », et 75 % pensent que ces actions pourraient être plus importantes à l’avenir.
Les décideurs formulent des attentes d’autant plus fortes qu’ils sont une large majorité (62 %) à estimer que ces actions environnementales sont appréciées par les salariés, et que 71 % d’entre eux déclarent déjà « agir au quotidien au travail pour limiter leur empreinte carbone et l’impact environnemental de leur activité ».
Que faire, dès lors ? Les cadres ne manquent pas d’idées pour accentuer l’actionde leur entreprise, et plaident notamment en faveur d’actions concrètes : limiter les déplacements et favoriser les alternatives de mobilité, réduire la consommation énergétique, la consommation de plastiques ou de papiers, ou encore changer les flottes d’entreprises pour des véhicules électriques.
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François Miquet-Marty
Aurélien Preud’homme
Stewart Chau
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