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Depuis plusieurs années, Viavoice et Klésia ont mis en place un observatoire de l’intérêt général.
L’édition de 2020 avait été réalisée avant que l’épidémie et ses conséquences ne puissent être prises en compte.
Afin de vérifier de quelles manières ces événements ont pu avoir un impact, quelques questions ont de nouveau été posées au début de l’été.
Deux éléments essentiels émergent de cette analyse :
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Le sentiment d’une plus grande convergence entre les intérêts individuels et l’intérêt général (+9 points entre les résultats de janvier et ceux de juillet).
L’épidémie et le confinement ont renforcé l’idée que tout le monde est indispensable au bon fonctionnement du pays. Et l’idée que mon intérêt personnel est lié à celui des autres progresse (vs l’autre est celui qui cherche à profiter du système).
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Le sentiment que s’occuper de l’intérêt général fait partie du rôle d’une entreprise reste à un niveau très élevé mais perd 6 points.
La tendance de fond demeure : le rôle de l’entreprise ne se cantonne plus à parler de ses produits et services en étant déconnecté de la société. Et cette tendance est solide.
Mais d’une part, une frange non négligeable de la population craint que cela soit le signal d’une forme de désengagement de l’Etat.
D’autre part, s’engager pour l’intérêt général doit se faire pour une bonne partie de l’opinion dans des domaines en lien avec les activités de l’entreprise. Sinon, cela pourrait sembler moins sincère
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Arnaud Zegierman
Sociologue
Cofondateur de Viavoice
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Lire l’intégralité de l’étude
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